Réhabiliter al Assad, ce serait déjà une faute morale, mais surtout, cela nous condamnerait à l’immobilisme car les Syriens eux-mêmes ne pourraient l’accepter, et aucun des pays arabes sunnites autour de la région ne pourrait y consentir.
C’est pourquoi la France redouble d’efforts, parce que l’impasse n’est pas une option.