pour que celles-ci améliorent leur compétitivité et retrouvent ainsi une capacité d’investissement, ce qui commence d’être le cas. Il faut que cet investissement s’accentue car nous en avons besoin pour créer de l’emploi, objectif qui, je l’espère, nous motive les uns et les autres quels que soient les bancs sur lesquels nous siégeons.
La troisième de nos priorités est la maîtrise des finances publiques. On nous a laissé un déficit de plus de 5 % du PIB.