De surcroît, les déceptions s’accumulent pour les Bretons. Vous aviez promis trois milliards, monsieur le Premier ministre – votre prédécesseur, deux milliards. Nous n’avons rien vu venir !
Le contrat de plan est si décevant qu’il a été signé en catimini, presque clandestinement, parce qu’il n’y avait rien à afficher. Voilà les réalités. La crise agricole touche toute une région. Voilà la réalité !
Ces déceptions se multiplient, jusqu’à la décentralisation de l’Institut français de recherche pour l’exploitation de la mer, petit dossier que vous aviez eu raison d’engager, mais qui, malheureusement, n’aboutit pas et se perd dans un contentieux mal mené.
Monsieur le Premier ministre, essayez de nous rassurer !