Plusieurs milliers d’automobilistes étaient ainsi bloqués pendant des heures en plein week-end des retours des congés d’été et à la veille de la rentrée scolaire. L’objectif ? Faire changer une décision de justice qui ne convenait pas.
Le samedi matin, la cour d’appel d’Amiens autorisait alors en urgence les deux détenus à assister, sous escorte, aux funérailles de leur père et oncle. Le barrage fut levé progressivement et la circulation rétablie le samedi soir.
Monsieur le Premier ministre, ce revirement, sous la pression, la violence et les menaces est catastrophique pour l’opinion publique.