Il envoie à nos concitoyens le message qu’il faut casser, détruire, menacer pour obtenir gain de cause, ce qui est inacceptable dans un État de droit.
Ce n’est pas la décision en elle-même de permettre aux deux détenus d’assister à ces obsèques qui est choquante – décision que je n’ai pas d’ailleurs pas à commenter –, mais la méthode : le refus, puis l’acceptation en cédant sous la pression de la violence. On aurait dû accepter tout de suite ou pas du tout, me semble-t-il !
L’amertume, l’incompréhension, la consternation et la colère des forces de l’ordre et des habitants du territoire sont grandes – et encore plus grandes quand on sait que le coût des dégâts est estimé à plus de 500 000 euros !