Les raids aériens français, effectués avec une collaboration syrienne, sont en totale opposition avec les paroles de François Hollande à la tribune de l’ONU, affirmant qu’une transition politique en Syrie passera inévitablement par le départ du président syrien.
La France se conforte ainsi dans son isolement, encore renforcé depuis l’évocation par la chancelière allemande d’un éventuel dialogue avec Bachar al Assad, et l’évocation du maintien au pouvoir de celui-ci pendant une période de transition par le Premier ministre britannique.
Assez de cette cacophonie entre les grandes puissances à l’ONU, qui nous ridiculise aux yeux des djihadistes !