Je vous remercie, monsieur Kert. Je prends note de votre remarque. La proposition de loi à laquelle vous avez fait référence figurait à la fin de l’ordre du jour ; il a en effet été décidé de l’examiner avant la reprise des discussions sur ce projet de loi.
Au risque d’augmenter votre mécontentement, monsieur Kert, je vous annonce d’ores et déjà que nous arrêterons nos travaux à minuit ce soir, non pas que le carrosse redevienne citrouille, mais parce que nous sommes au dernier jour de la session extraordinaire – ce qui ne vous a certainement pas échappé. Par définition, la session extraordinaire prendra fin à minuit ; nous ne pourrons donc pas siéger au-delà, à moins de bloquer les horloges ! Il nous faudra patienter jusqu’à l’ouverture de la session ordinaire. Je tenais à vous en informer dès maintenant.