Madame la ministre, lorsque j’ai lu cette proposition pour la première fois, j’ai trouvé que c’était une bonne idée. Mais tous les passionnés que j’ai interrogés m’ont dit qu’elle présentait un risque énorme. Je ne fais que vous rapporter ce que m’ont dit des gens qui ont la passion de l’archéologie.
Dans un monde où tout le monde serait respectueux et aurait le sens de l’intérêt général, tout serait parfait. Mais ce n’est malheureusement pas le cas, surtout à l’heure où se développe un important marché international. C’est toujours la même chose : il y a les bons sentiments d’un côté, que nous partageons avec vous, et la pratique de l’autre. La loi, malheureusement, doit également s’occuper de la pratique.