Il me semble que c'est respecter le travail de nos collègues sénateurs que de reprendre les amendements déposés par leurs rapporteurs et adoptés par la commission sénatoriale des affaires sociales avant que le texte ne soit malheureusement repoussé en séance publique. Je maintiens qu'il est dommage d'en rester à un texte figé dans une rédaction qui a provoqué, en première lecture, le vote contre de 34 députés et l'abstention de 83 autres, loin de l'unanimité de 2005.