Concernant le positionnement auprès des préfets, j'observe que si certains d'entre eux sont sensibles à la question des droits des femmes, d'autres la considèrent comme le cadet de leurs soucis, d'où le risque pour les chargées de mission ou les déléguées de ne pas réussir à se faire entendre. Pour être efficaces, elles doivent pouvoir participer aux réunions avec la chambre de commerce, les acteurs économiques, le procureur… En revanche, vous avez raison, il faut une circulaire définissant clairement leur rôle.