Dans les régions où deux délégués sont présents, comment envisagez-vous les choses dans le cadre de la réforme territoriale ?
Certes, nous connaissons tous des préfets qui portent peu d'intérêt aux droits des femmes, mais il est toujours possible de s'appuyer sur le directeur de cabinet – ou le SGAR s'agissant des déléguées régionales. Néanmoins, le problème restera le même si le directeur départemental de la cohésion sociale n'y croit pas.