Or c’est bien l’État qui s’engage auprès de l’UNESCO. Il est donc normal que ce soit à l’État que revienne la décision finale. Mais en pratique, la concertation est toujours privilégiée et continuera de l’être. Comme le rapporteur, je vous demande de bien vouloir retirer votre amendement. À défaut, j’émettrai un avis défavorable.