Cet amendement tend à prévoir le cas où la personne de confiance serait empêchée, indisponible, impossible à contacter dans les délais relativement brefs qui s’imposent ou, par exemple, victime d’un accident. À cette fin, nous proposons que soit désignée une personne de confiance suppléante, qui ne serait pas contactée si la personne de confiance est disponible, mais seulement dans l’éventualité où celle-ci ne le serait pas. Ce suppléant devrait alors donner son avis, c’est-à-dire traduire l’opinion de la personne malade. Il s’agit ainsi de prévoir une circonstance inhabituelle, afin d’étayer le dispositif.