Je le retire car, de surcroît, il conviendrait d’en retravailler certains aspects sur le plan juridique.
Il me paraît néanmoins important de susciter ce débat, que nous n’avons pas eu en première lecture. Nos échanges sont nécessaires parce que, encore une fois, les expériences internationales dans ce domaine sont très instructives. La façon dont les choses se passent en Belgique, en particulier, doit être regardée de près. À mon sens, cela implique de se pencher à nouveau sur la proposition que j’ai faite, peut-être en l’approfondissant et en regardant les choses d’une manière un peu plus précise juridiquement.
Par ailleurs, l’organisation d’une primauté parmi les avis familiaux ne signifie pas absence de dialogue. Une telle méthode, à mon sens, permettrait, dans la grande majorité des cas, de recueillir l’avis le plus proche de celui de la personne en fin de vie.