Seuls un ou deux députés de la majorité d’alors étaient présents. Il n’y avait aucun vote. Aujourd’hui, sous la présidence de Claude Bartolone, on joue le jeu de la démocratie, et cela mobilise la majorité pour aller jusqu’au vote. Monsieur le président Jacob, vous qui avez connu cette période, vous ne pouvez que le reconnaître.