Non, je n'ai pas fini, monsieur le président. Après je m'en irai, je vous laisserai tranquille. Je n'interviens pas souvent ; vous avez constaté que je suis un député plutôt sage, et j'ai une réflexion sage également : je disais simplement qu'il y a là des millions à prendre, que nous ne prenons pas, des milliards même.
C'est un déshonneur, parce que ces gens-là n'ont plus la fibre patriotique. Nous, nous ramons jusqu'à 3 heures du matin pour essayer de trouver un petit peu d'argent quelque part ; eux, ils ne remettent pas en état ce qui a fait la fortune de la France pendant 60 ans ; je veux parler du Béarn.
C'était, je tenais à le dire, mon coup de coeur de cette deuxième lecture. Merci beaucoup.
(L'article 24 ter est adopté.)