Il est évident qu’il faut continuer ce travail, comme l’a très bien dit notre collègue Charles de Courson, pour défendre le travail, l’effort et le mérite, ainsi que la transparence vis-à-vis des salariés et des actionnaires. On peut en effet s’interroger sur le fonctionnement de sociétés anonymes dans lesquelles on crée des rentes ad vitam æternam qui vont à l’encontre même de l’esprit d’entreprendre.