Nous avons déjà abordé le problème du secteur culturel en première lecture, mais je me permets de revenir dessus.
Monsieur le rapporteur général, je considère toujours, comme en première lecture, que la culture est un bien de première nécessité : spectacle vivant, livre, cinéma, pendant quarante ans ces trois domaines étaient taxés au même taux. Le 1er janvier 2012, le gouvernement précédent les a séparés, en laissant le livre à 5 % mais en portant le reste à 7 %. Je pense qu'aujourd'hui il faut ramener le tout à 5 %.
J'entends bien qu'on en décidera plus tard ; mais je maintiens que c'est tout sauf clair…