Si on abroge la suppression de la demi-part, cela reviendrait à relever, sauf erreur de ma part, le revenu fiscal de référence de 33 %. L’amendement de Christine Pires Beaune, que nous devrons évidemment voter, vise, quant à lui, à le revaloriser de 2 %. Je pense que là se trouve l’explication de l’écart entre les 150 millions et le milliard.
Monsieur le secrétaire d’État, serait-il possible de savoir, quand nous en viendrons à l’amendement, le nombre de personnes concernées, et s’il ne serait pas envisageable d’aller un peu au-delà de 2 % ?