Car enfin, qui ne voit que si, pour bénéficier de cette demi-part supplémentaire, il faut avoir 75 ans, celui qui avait 20 ans dans les Aurès en 1961 n’y a pas encore droit, et que, dans le même temps, nombre de ceux qui auraient pu en bénéficier sont malheureusement déjà disparus. Quand on voit l’évolution dégressive du nombre de combattants, chacun comprendra que le coût en 2016 de cette mesure ne sera que de l’épaisseur d’un trait !
Le présent amendement a été adopté par des collègues de tous les bancs membres de la commission des finances. Merci, monsieur le ministre, de vous en remettre à la sagesse de l’Assemblée, voire de nous donner votre accord pour qu’il soit adopté.