La commission a adopté cet amendement, tout simplement au titre de la reconnaissance de la nation envers les anciens combattants : c’est la raison de fond qui nous a incités à voter en sa faveur.
En outre, cet amendement, contrairement à d’autres qui avaient été proposés à l’examen de la commission, porte sur les flux entrants, et non sur le stock de population. En termes d’impact budgétaire, le coût n’est pas le même : nous l’estimons à entre 20 et 30 millions d’euros, ce qui devrait être acceptable, surtout au regard de la reconnaissance que nous devons aux anciens combattants.