Nous ne parlons pas de la même chose, monsieur Hammadi. Moi, je parle du nombre d’actions de groupe engagées, vous, du nombre de personnes concernées par les actions de groupe. Or le nombre d’actions de groupe engagées est extrêmement faible.
L’action de groupe devrait être un moyen d’améliorer les relations commerciales, d’améliorer les relations entre chacun des acteurs. Force est de constater qu’aujourd’hui, le compte n’y est pas. Les actions de groupe, telles que vous les avez proposées, ne fonctionnent pas dans la réalité économique actuelle.