Cet amendement a le même objet que celui de Charles-Amédée de Courson. Il s’agit de mettre en place une réduction d’impôt comparable à celle existant pour la souscription au capital de certaines PME, ce qui permettrait de redynamiser les GFA et d’espérer mener à bien les projets de portage indispensables à la sauvegarde des exploitations familiales.
Vu le prix actuel du foncier, les jeunes ne peuvent en acquérir, à moins de s’endetter sans avoir la possibilité de rembourser. Il existait précédemment un système de démembrement visant à amortir une partie du foncier, mais il a été supprimé ; c’est regrettable.
Alors, monsieur le secrétaire d’État, tournez-vous vers notre jeunesse pour qu’elle puisse continuer à gérer des PME et de petites exploitations !