C’est le même que celui de M. Martin-Lalande et le fait que nous soyons tous deux élus du Loir-et-cher n’y est sans doute pour rien…
Le zooparc de Beauval, à côté de Saint-Aignan-sur-Cher, en plein milieu rural, représente 500 emplois et constitue un facteur de développement prodigieux.
Se pose par ailleurs un problème de cohérence, comme l’a très bien dit mon collègue, puisque le spectacle vivant est taxé à 5,5 % tandis que celui que auquel on assiste à travers la présentation de cétacés ou d’oiseaux n’est pas taxé de la même façon.
Il s’agit d’un loisir familial : on se rend dans ces parcs en famille, avec les coûts que cela représente pour les parents qui y conduisent leurs enfants.
Il s’agit une activité pédagogique, puisque dans les périodes creuses, ce sont les écoles qui visitent ces parcs.
Ceux-ci assurent une mission de conservatoire de la biodiversité, en étroit partenariat avec des équipes de recherche sur la vie sauvage.
Il y a enfin cet enjeu qu’est le développement du milieu rural.
Voilà l’ensemble des raisons qui font que, tout en restant sensible à l’argument selon lequel il ne faut pas tout changer en matière de TVA, je pense que vous pouvez faire une exception pour les zooparcs.