Je voudrais rebondir sur l’exemple qu’a pris notre collègue Charles de Courson pour souligner l’aberration du système actuel. Ce qui est vrai dans un bistro l’est également dans le TGV : lorsque vous achetez un sandwich dans le TGV, on vous demande si vous souhaitez l’emporter ou le consommer sur place. C’est dire l’aberration du système !
Face à de telles aberrations, il appartient au législateur de trouver une solution. De tels mécanismes ne peuvent pas perdurer : ce n’est pas sérieux ! Il y va même de la crédibilité du Parlement et du Gouvernement vis-à-vis des citoyens. Je regrette que vous refusiez ce débat et que vous ne cherchiez pas à apporter une réponse logique à un problème que les Français rencontrent au quotidien.