Mes arguments sont les mêmes que précédemment. Si l'on affectait le produit de la taxe au budget de l'État, il faudrait que celui-ci verse en contrepartie des recettes nouvelles ou des subventions budgétaires aux organismes d'HLM, ce qui est exactement l'inverse de la volonté, que nous croyions partagée, de limiter la progression des dépenses publiques. Il vaut mieux laisser fonctionner le système de la façon que nous prévoyons. Avis défavorable.