Voici justement les chiffres : 1,6 million d’euros la deuxième année et 500 000 euros la troisième car il s’agit simplement d’une accélération des amortissements. La mesure soulage les entreprises pendant les trois ou quatre premières années, puis la courbe des montants s’inverse, bien entendu. On amortit en général les robots sur une dizaine d’années. C’est pourquoi je propose un système permanent, seul susceptible d’être un tant soit peu efficace. La prolongation d’un an que propose le Gouvernement n’a aucune efficacité. Et cela ne coûte que 700 000 euros !