Je voterai tout à l’heure l’amendement no 818 du Gouvernement, de telle sorte que l’amendement no 328 peut désormais paraître caduc. Je regrette cependant la façon dont les choses se sont passées car, alors que certains se battent depuis longtemps sur ces sujets, le Gouvernement – quelle délicatesse ! – ne nous a prévenus que quelques heures avant notre débat, si bien que nous n’avons pas eu la possibilité d’en discuter avec lui, notamment de l’affectation de ces nouvelles recettes.
Je n’en dirai pas beaucoup plus, car je souhaite céder la parole à M. Jean-Yves Caullet, qui représente ici la commission du développement durable, laquelle avait adopté cet amendement.