Vous direz ce que vous avez à dire après que j’aurai répondu, je ne vous ai pas interrompu ! Franchement, ce sujet, que je crois connaître un peu, ne mérite pas les caricatures qui viennent d’en être faites. Encore une fois, les responsabilités sont partagées.
La situation est la suivante : si la justice, après que tous les recours auront été exercés, donne raison aux collectivités qui l’auront saisie, ce seront les banques, c’est-à-dire la SFIL, qui paieront. La SFIL se retrouvera en faillite, et l’État en sera pour au moins 15 milliards d’euros.