Même l’ancien secrétaire d’État à l’énergie de Mme Thatcher estime que ce contrat serait « le pire deal jamais conclu », avec un prix d’achat garanti pour trente-cinq ans au double du prix de l’électricité britannique, 30 % plus élevé que le prix de l’électricité renouvelable.
Le PDG d’EDF lui-même a reconnu qu’il avait échoué à faire participer les investisseurs étrangers prévus, tant les échecs de l’EPR les inquiètent.