Une épidémie destructrice des oliviers, comme en Italie, serait, pour la région Provence-Alpes-Côte d’Azur, une catastrophe économique, agricole, mais aussi touristique et sociale. On n’imagine pas la Toscane, pas plus que la Provence, sans oliviers.
Cette menace met en péril le secteur agricole, déjà lourdement frappé, comme vous le savez, monsieur le ministre, par les difficultés du riz comme des cultures végétales – qui touchent également la Provence – en Camargue.
Monsieur le ministre, comment trouver le juste équilibre entre l’urgence de la protection sanitaire de la région Provence-Alpes-Côte d’Azur et la nécessité de ne pas faire peser de contraintes trop lourdes sur les pépiniéristes ?