La personne concernée se retrouve donc sans droits le 1er octobre. Si ses parents sont un peu au courant, ils vont aller à la sécurité sociale demander que leur fille redevienne ayant droit sous le régime du père ou de la mère. Mais s’il s’avère que la jeune fille trouve du travail dans les quinze jours, il faudra qu’elle retourne à la sécurité sociale déclarer qu’elle a travaillé plus de soixante heures par mois ou plus de cent vingt heures au cours du dernier trimestre, qu’elle ne peut donc plus être ayant droit de ses parents, mais qu’elle doit être assurée en son nom propre. Eh bien, si la famille n’a pas compris le système, on se retrouve avec des jeunes « franco-français » – juste des gens vivant sur notre territoire – sans couverture : rien à voir donc avec votre prétendu appel d’air venant de l’étranger !