Je veux saluer comme vous, monsieur le député, le maire de Moirans et ses équipes ainsi que tous les habitants qui se sont retrouvés face à ce déchaînement de violence. Ceux qui veulent tordre le bras à la justice, tordre le bras aux forces de l’ordre, tordre le bras à la République s’exposent à une réponse d’une extrême fermeté. Ceux qui ont agi hier doivent s’attendre à être implacablement recherchés et poursuivis en justice.
À Moirans, hier comme aujourd’hui et jusque devant les juges d’appel, les magistrats ont rendu des décisions fermes dans un contexte difficile et complexe, qui rappelle s’il en était besoin la difficulté de leur mission.