Qu’un chef d’État, en Europe, puisse tenir ces propos est inacceptable, comme il est inacceptable que l’on puisse, comme vous le souhaitez, établir parmi les réfugiés qui demandent le droit d’asile une distinction en fonction de leur confession – ici, chrétiens ; là, musulmans – avant de les accueillir dans nos villes. C’est ce débat qu’il faut avoir dans le pays.