Ceci pour quatre raisons principales
Premièrement, ce sont des services de première nécessité. Deuxièmement, ils ont un impact direct sur le pouvoir d'achat de nos concitoyens. Troisièmement, ils contribuent à la mutation écologique. Quatrièmement, ils sont pourvoyeurs d'emploi.
Dans mon métier, on dit souvent : « Primum non nocere ». Si notre objectif est de créer de l'emploi, primum non nocere.
Nous pouvons partager les recommandations du rapporteur général quand il précise que tous les éléments devront être pris en compte.
Prenons l'exemple de la restauration où la TVA à 10 % pourrait être compensée par le bénéfice du crédit d'impôt compétitivité emploi. Mais la compensation ne fonctionne pas partout, notamment pour les services publics !
La fiscalité écologique viendra utilement apporter sa contribution au financement du CICE