Je laisserai à mes amis le soin de traiter de ce budget dans le détail et me bornerai à rappeler que le monde combattant est particulièrement uni dans le domaine de la reconnaissance et de la défense des droits. L'élément fondamental de notre réflexion est que les anciens combattants doivent être traités sur la base du droit à réparation. Ce droit fait de l'ancien combattant un « citoyen plus », bénéficiant non seulement de l'ensemble des dispositions du droit commun mais aussi – c'est le témoignage de la reconnaissance de la Nation à leur égard – d'un droit à réparation imprescriptible.