Du côté de l’offre, donc, cela va mieux, tandis que, du côté de la demande, des relais de croissance sont nécessaires dans l’attente d’une accélération que tout le monde prédit et qui se produira.
Les différents amendements que je défends, notamment sur cet article 8, reviennent à dire qu’il est possible d’opérer des aménagements du côté de l’offre et de la compétitivité pour financer deux choses : le pouvoir d’achat des ménages et les investissements publics, dont on connaît l’effet très fort sur le PIB en période de croissance faible.