Merci, madame la présidente. Ce sont des remerciements traditionnels mais toujours sincères : merci donc à vous et à celles et ceux qui vous ont précédée pour présider ces débats, merci aux services de la séance sans les agents desquels les travaux ne pourraient pas se faire, merci aux parlementaires. Les débats ont été intéressants, parfois un peu vifs : c'est la fin de la session, les sujets sont ardus, les uns et les autres peuvent être fatigués pour des raisons diverses.
Pardon, monsieur de Courson, de ne pas avoir su que vous étiez souffrant la semaine dernière et d'une certaine manière de vous en avoir fait reproche : vous savez très bien que telle n'était pas mon intention.
Merci aux différents orateurs et aux responsables des groupes pour la part qu'ils ont prise dans ce débat. On sait ce que sont les oppositions et les divergences et il me semble que, dans cet hémicycle, ces divergences se sont exprimées avec la qualité qui sied à un régime démocratique ancien, civilisé et tout à fait performant.
Je voudrais adresser mes remerciements particuliers au rapporteur général de la commission des finances (Applaudissements sur les bancs des groupes SRC, écologiste, RRDP, GDR et UDI.) qui, une fois encore, a montré la maîtrise qu'il avait de ces sujets, qui a manifesté du courage chaque fois que nécessaire et sa loyauté à l'égard du Gouvernement sans jamais, à aucun moment, donner l'impression qu'il pouvait se détacher du groupe. C'est une fonction extrêmement délicate que celle qu'il exerce, puisque c'est un rôle d'articulation, difficile, entre un groupe majoritaire et un gouvernement.