Vous parlez beaucoup et moi, je ne vous interromps pas ni ne fais de grands gestes quand vous vous exprimez. Si vous voulez que je vous réponde, laissez-moi m’exprimer. Sinon, je peux m’asseoir et ne pas vous apporter de réponses.
J’entends aussi le débat ouvert par M. Vercamer, pour qui nous pourrions discuter, compte tenu des évolutions intervenues dans la société, mais qui se demande si ces dispositions ont bien leur place dans le projet de loi de financement de la Sécurité sociale.
Je voudrais vous dire deux choses, monsieur Vercamer. En premier lieu, ce n’est pas ce texte qui modifie quoi que ce soit aux prélèvements effectués.