En France, l’Agence nationale de sécurité sanitaire des aliments a mis ce risque en évidence il y a plus de dix ans et a émis un certain nombre de recommandations prônées par les gouvernements successifs. Il s’agit néanmoins de consommation excessive. Il ne faut donc pas provoquer l’inquiétude et l’alarmisme ni donner le sentiment à nos concitoyens qu’en mangeant de la charcuterie ou un morceau de viande ils feraient courir un risque à leur santé. Nous devons évidemment faire en sorte que leur consommation soit maîtrisée, ce qui s’inscrit parfaitement dans la politique que nous menons dont le maître mot est « équilibre », comme dans tous les domaines.
En matière de lutte contre les cancers, nous devons être attentifs à bien hiérarchiser les risques. À tout placer sur le même plan, nous oublions que les grands combats à mener sont dirigés contre les substances qui tuent chaque année des centaines de milliers voire des millions de personnes dans le monde, et en particulier le tabac.
Le 29/10/2015 à 09:25, laïc a dit :
Et la pollution atmosphérique, notamment à Paris ?
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