On crée de véritables zones de non-droit. Les communes sont à bout de souffle et n’ont plus les moyens de réparer les dégâts provoqués lors des installations sauvages ou lors des manifestations de contestation.
Le problème réside dans le fait que ces personnes semblent répondre à un statut à part. Alors que l’on condamne avec raison le communautarisme, comment peut-on accepter une telle situation ?
Le 29/10/2015 à 09:28, laïc a dit :
"Alors que l’on condamne avec raison le communautarisme, comment peut-on accepter une telle situation ?"
On condamne en mots, mais en pratique, c'est "faites ce que vous voulez"...
Vous trouvez ce commentaire constructif : non neutre oui