Il a notamment obtenu la carte du combattant dite « à cheval ». Je rends donc hommage au travail qu’il a accompli avant moi.
Vous affirmez qu’il faudrait prévoir 4 millions d’euros plutôt que 2 millions. À ma connaissance, aucun document n’a circulé sur ce point au conseil d’administration de l’ONAC et aucune délibération n’a eu lieu. Tout ce que je puis vous dire c’est qu’il est apparu, au cours de mon entretien avec la directrice générale de l’ONAC, que l’office pouvait fonctionner avec 1,5 million d’euros. Or j’ai obtenu, lors de l’arbitrage budgétaire, 2 millions d’euros de mon ami Christian Eckert, secrétaire d’État chargé du budget, grâce auxquels nous pourrons refondre et consolider l’action sociale.
Je propose de faire le bilan du dispositif à la fin 2016, à partir des dossiers traités par les commissions départementales. Quoi qu’il en soit, ni le Gouvernement ni l’ONAC n’ont l’intention de diminuer le nombre de ressortissants susceptibles de bénéficier de l’aide sociale. Nous envisageons au contraire de l’étendre aux anciens combattants les plus démunis. Je vous demande donc le retrait de votre amendement et appellerais, à défaut, à son rejet.