…il faut fédérer l’ensemble des moyens de recherches – je pense notamment aux équipes de l’INRA et à celles de l’Institut français du vin – mais, pour cela, nous avons aussi besoin de moyens.
Cet amendement vise précisément à en obtenir afin de mettre en place un programme de recherche permettant de conforter et d’aider la filière viticole.
Je rappelle que le manque à gagner dû à ces maladies s’élève à un milliard au moins et que l’insuffisance de la production nous prive quasiment d’une possibilité supplémentaire d’exportation alors que les marchés internationaux existent et que nous pourrions partir à leur conquête.
Il convient donc de pouvoir aider la recherche, notamment publique, ce à quoi tend cet amendement.