Le drame, c’est que l’on n’a aucune arme pour combattre. Et la seule qu’on avait, on se l’est interdite. Entre mourir et faire quelque chose, je préfère faire quelque chose que mourir, tant qu’on n’a pas trouvé de solution alternative. Il y a des gens qui préfèrent mourir plutôt que de choisir des solutions qui, sans être idéales, constituent tout de même un moindre mal. Alors, je ne sais pas quelle est votre position entre le moindre mal et mourir, monsieur le ministre.