Madame la ministre de l’éducation nationale, j’associe à cette question mes collègues de tous bords qui, comme moi, sont attachés à l’apprentissage intense et précoce de l’allemand, en particulier Pierre-Yves Le Borgn’, président du groupe d’amitié France-Allemagne.
Madame la ministre, votre réforme du collège aura pour conséquence de reléguer l’apprentissage de l’allemand « au rang de la culture de l’orchidée », selon l’expression justement choisie par l’ancienne ambassadrice d’Allemagne en France.