En vous écoutant, monsieur le président Nkodo Dang, je songeais au fait que chaque année, nos deux continents, l’Afrique et l’Europe, se rapprochent d’un centimètre, et qu’un jour ils se toucheront. Je me réjouissais que nous ayons pris ensemble un peu d’avance en faisant entrer aujourd’hui l’Afrique à l’Assemblée nationale !
Je voudrais vous dire que votre présence dans cet hémicycle nous honore, et qu’elle est précieuse pour faire vivre la relation si singulière qui unit la France à l’Afrique.