Je voudrais terminer en insistant de nouveau sur le lien privilégié qui unit l’Afrique et la France et sur le soutien que notre pays doit apporter à ce projet d’électrification. Cela contribuera d’ailleurs à compenser la diminution des crédits de l’aide publique au développement enregistrée pendant quatre années. L’accès à l’énergie pour chacun doit devenir un nouveau droit humain. Il revient à tous ceux qui sont ici rassemblés de le faire reconnaître, de le faire constater, en agissant très résolument pour cette cause commune, pour ce progrès commun de l’humanité.