Une partie des crédits de la mission concerne l’aide alimentaire. Or les engagements de la France en matière d’accueil des réfugiés entraînent des besoins supplémentaires dans ce domaine.
Nous proposons donc d’augmenter les crédits du programme 304 de 8 millions d’euros, un montant calculé sur la base du nombre de réfugiés que nous devons accueillir au cours de l’année, et donc du nombre de repas qui devront leur être servis.