J’associe à cette question mes collègues et amis Jean-Jacques Cottel et Rémi Pauvros ainsi que l’ensemble des députés du groupe socialiste.
Suite à la suppression de la demi-part fiscale pour les veufs et les veuves en 2008, nombreux sont nos aînés qui ont eu la mauvaise surprise de constater qu’ils devaient s’acquitter de la taxe foncière ou d’habitation alors qu’ils en étaient exonérés jusqu’à présent.
Chez moi, en Thiérache, terre agricole et industrielle, nos aînés ont travaillé dur et vivent modestement. Aujourd’hui à la retraite, ils aspirent à une vie sereine et paisible, dans leur maison. Avec une petite retraite, ils se retrouvent à devoir s’acquitter d’une facture insupportable. Leur détresse l’est tout autant.
Monsieur le Premier ministre, il nous fallait agir ! Nous avons été dans notre rôle de parlementaires.