Monsieur le député, vous soulevez des questions essentielles. Tout d’abord, vous l’avez rappelé, le Quai d’Orsay est aujourd’hui engagé dans une démarche de postes de présence diplomatique. La volonté est simple : maintenir l’universalité du réseau français, c’est-à-dire avoir des représentations dans le monde entier, mais aussi adapter les postes à la réalité de la situation budgétaire et, surtout, aux besoins sur le terrain. Il s’agit d’une solution pragmatique et innovante. D’ici à 2017, vingt-cinq ambassades seront transformées en poste de présence diplomatique. Chaque poste sera organisé en fonction de la réalité des enjeux et des situations locales.